Il y a des joueurs qu'on regarde, et d'autres qu'on vit. Lors de la saison NBA 2024-25, on a eu la chance d'assister à 13 matchs de Stephen Curry (!), et certains resteront gravés dans nos mémoires. Le 25 décembre, au Chase Center, il signe une action de génie en fin de 3e quart-temps : passe dans le dos en transition, récupération express et tir à 3 points au buzzer qui fait exploser la salle. Un moment pur Curry, entre instinct, audace et show, classé dans le top 10 de toute la saison par la NBA.
Mais c'est peut-être au Barclays Center de Brooklyn qu'il a livré l'une de ses fins de match les plus marquantes, pour nous, l'an dernier : un tir assassin à 3 points, ponctué par son célèbre geste night night. Le tout devant un public new-yorkais sidéré, alors qu'une bonne partie était acquise à sa cause... C'est quand on vit ces moments en direct qu'on assiste véritablement à l'histoire.
Car Stephen Curry, c'est plus qu'un joueur : c'est un symbole, une révolution à lui seul. En quelques saisons, il a redéfini le jeu NBA avec sa portée de tir surnaturelle, sa vitesse d'exécution et son sens du show. Pourtant, rien ne le prédestinait à bouleverser l'histoire du basket à ce point. Dans ce portrait complet, on retrace son parcours : de ses débuts sous-estimés à Davidson à sa place au panthéon de la NBA, en passant par ses titres, ses records et son influence sur une génération entière.
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🗺️ Sommaire
- 👣 Des terrains de Charlotte aux exploits de Davidson
- 👨🎓 Draft 2009 : Golden State mise sur un shooteur sous-estimé
- 🚑 Débuts compliqués en NBA (2009-2014)
- 🏆 2015-2016 : premier sacre et saison record
- 👑 2017-2018 : l’ère Kevin Durant et la suprématie des Warriors
- 🔙 Retour au sommet en 2022 : quatrième titre
- 📊 Statistiques clés & palmarès
- ✨ Style de jeu & révolution du tir
- ✈️ Voir Stephen Curry en live
- 🛒 Les indispensables Stephen Curry
- ❓ FAQ
👣 Le petit Stephen Curry, méconnu de Charlotte aux exploits de Davidson
Pour bien comprendre les premiers pas du jeune Steph, 4️⃣ étapes pre-NBA sont à retenir :
1️⃣ Enfance à Charlotte (Caroline du Nord) : né le 14 mars 1988 à Akron (Ohio, comme un certain LeBron James...) mais élevé à Charlotte, Stephen Curry baigne dans le basket grâce à son père Dell Curry, shooteur redouté des Hornets. Très tôt, « Steph » perfectionne d'abord son tir, tout d'abord à l'extérieur du garage familial. "Je lui ai fait remonter ses mains, pour éviter les contres", raconte Dell, qui explique aussi que l'arceau n'avait aucune souplesse, forçant Steph à être hyper précis. Un travail qui se fera parfois aussi sur des parquets NBA, avant ou après les matchs de son père.
3️⃣ C️hoix de Davidson College : le coach Bob McKillop lui offre une bourse et carte blanche derrière l’arc. Pari gagnant : dès sa saison freshman (2006-07), Curry plante 30 pts pour son premier match NCAA puis boucle l’année à 21,5 pts, record freshman de la SoCon.
4️⃣ Tournoi NCAA 2008 : la révélation : il porte les Wildcats jusqu’en Elite Eight. 40 pts vs Gonzaga, 30 pts vs Georgetown, 33 pts vs Wisconsin : l’Amérique découvre son shoot létal. Sa moyenne de 32 pts sur la March Madness 2008 attire enfin les scouts NBA.
En deux ans, le petit shooteur sous-estimé devient un phénomène national grâce à son adresse longue distance (44 % à 3 pts sur trois saisons NCAA). Cette ascension fulgurante pose les fondations de la légende Stephen Curry.
👨🎓️ Draft 2009 : Golden State mise sur Steph, shooteur sous-estimé
Le 25 juin 2009, Stephen Curry est appelé en 7e position par les Golden State Warriors. Beaucoup l’imaginaient plus haut, mais son gabarit “trop léger” et sa défense jugée friable freinent plusieurs équipes.
Je l'aurais pris en numéro 2 cette année-là.
— Don Nelson, coach des Warriors à l’époque
Les Minnesota Timberwolves ignorent même Curry à deux reprises, préférant Ricky Rubio et Jonny Flynn en 5e et 6e choix – une erreur que la franchise paiera cher. Sa famille, elle, espérait le voir filer aux New York Knicks (8e position). Le Madison Square Garden semblait en effet lui réussir : il y avait inscrit 27 points, dont 24 en seconde mi-temps avec Davidson.
On rêvait de le voir jouer au MSG… j’avais même demandé aux Warriors de ne pas le choisir.
— Dell Curry, père de Stephen (2019)
Arrivé à Oakland, l’accueil est frigorifique : effectif en reconstruction et scepticisme interne. Le leader Monta Ellis lâche même : « Deux petits meneurs, ça ne peut pas marcher ». Seize ans plus tard, la NBA sait qui avait raison.
Curry, fidèle à son humilité, déclare simplement : « Je veux juste m’intégrer, travailler dur et aider l’équipe à gagner ». Et comment… La suite appartient à la légende, même si la route fut parsemée d’embûches.
🚑 Débuts compliqués en NBA pour Curry (2009-2014)
Les premières années de Stephen Curry en NBA sont tout sauf tranquilles. Entre 2010 et 2012, il subit quatre opérations de la cheville droite. Certains doutent alors de sa longévité : la franchise lui propose même un contrat d’extension « rabais » (44 M$ sur quatre ans) pour parier malgré tout sur son potentiel.
« Il y a eu des soirs où je me demandais si ma cheville tiendrait un match de plus », admettra Curry plus tard dans un entretien à ESPN.
Malgré ces doutes, il signe ses premiers coups d’éclat. Le 27 février 2013, il inscrit 54 points au Madison Square Garden, puis établit un nouveau record NBA avec 272 tirs à 3 points la saison suivante.
Son duo avec Klay Thompson — bientôt surnommé les Splash Brothers — commence à transformer la façon de jouer des Warriors… et de toute la ligue.
« Son 54 points au Garden ? Ce soir-là, j’ai su qu’il allait changer la NBA », racontera Klay des années plus tard.
Grâce à un programme de renforcement sur-mesure et des chaussures adaptées, Curry reste désormais en bonne santé : en 2013-14, il joue 78 matches pour 24 pts et 8 asts de moyenne. La révolution longue distance est lancée.
🏆 2015 & 2016 : "Chef Curry" concocte son premier sacre et une saison record
La saison 2014-15 marque un tournant : l’arrivée de Steve Kerr modernise l’attaque des Warriors et Stephen Curry explose. Il tourne à 24 pts, 7,7 asts et 4,3 rbs, décroche son premier trophée de MVP et mène Golden State (67-15) vers son premier titre NBA depuis 1975, aux dépens de Cleveland et LeBron James (4-2). C'est d'ailleurs Andre Iguodala qui sera MVP des finales, pour sa défense sur le « King ».
L’année suivante, Curry repousse encore les limites. Il devient le premier MVP élu à l’unanimité (30,1 pts, 6,7 asts, 5,4 rbs et 45 % à trois points) et inscrit 402 tirs à 3 points – record NBA toujours inégalé. Les Warriors finissent à 73-9, surpassant le 72-10 des Bulls de 1996.
Cette quête de perfection laisse toutefois un goût amer : menant 3-1 en Finale 2016, Golden State s’incline face aux Cavaliers de LeBron après une série épique. Curry digère la défaite avec la même philosophie : « Les records sont faits pour être battus ; notre dynastie, elle, est en construction. »
Sur le plan individuel comme collectif, l’exercice 2015-2016 confirme que Curry est désormais la figure centrale de la NBA et le moteur d’une révolution axée sur le tir longue distance. La ligue entière adopte peu à peu son style ; l’“effet Curry” est en marche.
👑 2017 & 2018 : l’ère Kevin Durant et la suprématie des Warriors sauce Curry
Après la désillusion des Finales 2016, les Warriors frappent un grand coup le 4 juillet 2016 : l’ailier superstar Kevin Durant rejoint la Baie. Golden State bâtit alors l’une des équipes les plus redoutables de l’histoire, articulée autour du jeu sans ballon de Stephen Curry et de la polyvalence offensive de Durant (meilleur scoreur NBA de 2010 à 2012 puis en 2014).
Le résultat est immédiat : en 2016-17, les Warriors terminent à 67-15, survolent les playoffs (16-1) et remportent le titre NBA 2017. Curry tourne à 28,1 pts en Finales, mais laisse le trophée de MVP des Finales à KD.
La saison suivante, malgré des blessures ponctuelles, la machine reste implacable : Golden State décroche le back-to-back en battant Cleveland 4-0. Curry signe un record personnel de 9 tirs à 3 points dans un match de Finales (Game 2, 2018), confirmant son statut d’artilleur ultime. Mais Durant prend encore le Finals MVP.
Au-delà des bagues, cette période scelle la dynastie Curry-Kerr : cinq Finales NBA consécutives (2015-2019), 73 victoires en saison, un style « pace-and-space » imité dans toute la ligue. Car l’empreinte de Curry va bien au-delà des statistiques : il force les défenses à s’étirer jusqu’au logo, ouvre des brèches pour Durant et Klay, et révolutionne l’espacement offensif.
La défaite de 2019 et les blessures de Durant (talon d'Achille) et Thompson (ligaments croisés) mettront un terme provisoire à cette domination, mais pour de nombreux observateurs, l’ère 2015-2019 reste l’une des plus flamboyantes de l’histoire NBA.
🔙 2022 : quatrième bague, la légende Steph Curry repart
Après deux saisons galères (fracture de la main en 2020, exercices 2019-20 et 2020-21 sans Thompson), Stephen Curry revient en force. L’exercice 2021-22 marque le véritable second souffle des Warriors : un savant mélange de vétérans (Curry, Thompson, Green) et de jeunes pousses (Jordan Poole, Andrew Wiggins).
En décembre 2021, Curry dépasse Ray Allen et devient le recordman all-time des tirs à 3 points lors d’un match historique au Madison Square Garden. Le 16 juin 2022, il boucle la boucle : 34 pts dans le Game 6 face à Boston, bague n°4 et, enfin, son premier trophée de MVP des Finales.
À 34 ans, Curry signe 31,2 pts de moyenne sur la série –qu'il a dominée d'une vista forçant le respect jusqu'à Boston –et prouve qu’il peut regagner sans Kevin Durant. Son émotion après la sirène, en larmes, balle serrée contre le torse, rappelle à tous l’ampleur de son parcours : de l’outsider frêle à la légende incontestée.
Ce 4e titre scelle son héritage, alors que, pour la NBA comme pour les fans, “Chef Curry” confirme qu’il n’a pas fini de régaler. On est d'ailleurs bien placés pour le savoir, après s'être tellement délectés de le voir en vrai outre-Atlantique (c'est l'expérience d'une vie, ne manquez pas cette opportunité, que ce soit à SF avec la DubNation France et le super-guide Nico, où en déplacement sur nos autres destinations)...
Mais aussi après avoir souffert en finale des Jeux Olympiques 2024. À Paris, face aux Bleux, qu'il a crucifiés d'une performance légendaire, notamment dans les dernières secondes.
📊 Statistiques clés : Stephen Curry
Aperçu des statistiques et du palmarès de Stephen Curry – la révolution longue distance en chiffres
Focus express sur les données de Curry en carrière
Moy. carrière PTS
pts/match
All-Time% à 3 pts
carrière
Précision% aux lancers
en carrière
Leader all-time3 pts / match
2009-2025
Double leaderStatistiques par saison de Stephen Curry – vue récapitulative.
| Saison | Âge | Team | G | Min | FG% | 3P% | eFG% | FT% | RBDS | AST | STL | BLK | TO | PTS |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 2009-10 | 21 | GSW | 80 | 36.2 | .462 | .437 | .535 | .885 | 4.5 | 5.9 | 1.9 | 0.2 | 3.0 | 17.5 |
| 2010-11 | 22 | GSW | 74 | 33.6 | .480 | .442 | .551 | .934 | 3.9 | 5.8 | 1.5 | 0.3 | 3.1 | 18.6 |
| 2011-12 | 23 | GSW | 26 | 28.2 | .490 | .455 | .583 | .809 | 3.4 | 5.3 | 1.5 | 0.2 | 2.4 | 14.7 |
| 2012-13 | 24 | GSW | 78 | 38.2 | .451 | .453 | .549 | .900 | 4.0 | 6.9 | 1.6 | 0.2 | 3.1 | 22.9 |
| 2013-14 | 25 | GSW | 78 | 36.5 | .471 | .424 | .566 | .885 | 4.3 | 8.5 | 1.6 | 0.2 | 3.8 | 24.0 |
| 2014-15 | 26 | GSW | 80 | 32.7 | .487 | .443 | .594 | .914 | 4.3 | 7.7 | 2.0 | 0.2 | 3.1 | 23.8 |
| 2015-16 | 27 | GSW | 79 | 34.2 | .504 | .454 | .630 | .908 | 5.4 | 6.7 | 2.1 | 0.2 | 3.3 | 30.1 |
| 2016-17 | 28 | GSW | 79 | 33.4 | .468 | .411 | .580 | .898 | 4.5 | 6.6 | 1.8 | 0.3 | 3.0 | 25.3 |
| 2017-18 | 29 | GSW | 51 | 32.0 | .495 | .423 | .618 | .921 | 5.1 | 6.1 | 1.6 | 0.2 | 3.0 | 26.4 |
| 2018-19 | 30 | GSW | 69 | 33.8 | .472 | .437 | .604 | .916 | 5.3 | 5.2 | 1.3 | 0.4 | 2.8 | 27.3 |
| 2019-20 | 31 | GSW | 5 | 27.8 | .402 | .245 | .476 | 1.000 | 5.2 | 5.2 | 1.0 | 0.4 | 3.2 | 20.8 |
| 2020-21 | 32 | GSW | 63 | 34.2 | .482 | .421 | .605 | .916 | 5.5 | 5.8 | 1.2 | 0.2 | 3.4 | 32.0 |
| 2021-22 | 33 | GSW | 64 | 34.5 | .437 | .380 | .554 | .923 | 5.2 | 6.3 | 1.3 | 0.2 | 3.2 | 25.5 |
| 2022-23 | 34 | GSW | 56 | 34.7 | .493 | .427 | .614 | .915 | 5.2 | 6.3 | 0.9 | 0.2 | 3.4 | 29.4 |
| 2023-24 | 35 | GSW | 74 | 32.7 | .450 | .408 | .573 | .923 | 4.5 | 5.1 | 0.7 | 0.4 | 3.0 | 26.4 |
| 2024-25 | 36 | GSW | 70 | 32.2 | .448 | .397 | .572 | .933 | 4.7 | 6.4 | 1.5 | 0.3 | 3.1 | 24.7 |
Ces données confirment l’impact historique de Stephen Curry sur la NBA.
Palmarès & records :
- 🏆 4 titres NBA : 2015, 2017, 2018, 2022.
- 👑 2 MVP de saison (2015 & 2016 – seul MVP à l’unanimité).
- 🔥 1 MVP des Finales : 2022 (31,2 pts de moyenne vs Boston).
- ⭐ 10 sélections All-Star (2014-2019, 2021-2024).
- 🎯 402 tirs à 3 pts en une saison (2016).
- 🚀 Leader all-time : 4 000+ tirs à 3 pts (depuis déc. 2021).
- 💎 Seul joueur 50-40-90 avec 30 pts/match (2016).
- 📈 268 matches consécutifs avec au moins un 3 pts (2013-2018).
- 💥 27 matches à ≥ 10 tirs primés – record NBA.
🧐 Style de jeu : la gravité offensive de Stephen Curry
Lorsqu’on dissèque le répertoire de Stephen Curry, trois leviers ressortent :
- Portée illimitée – Tir fiable jusqu’à 27-30 ft, obligeant les défenses à sortir très haut et ouvrant des couloirs pour ses coéquipiers.
- Mouvement sans ballon – Courses Split-Action avec Draymond Green, écrans away et relocations qui fatiguent les défenseurs et déstabilisent les aides.
- Handle & changement de rythme – Crochets courts, dribble arrière instantané et feintes de regard pour créer l’espace décisif ; « une triple-menace en mouvement », résume Steve Kerr.
Analyse vidéo : comment la gravity de Curry ouvre le jeu pour les Warriors.
Son concept de « gravity » se mesure : selon Second Spectrum, Golden State génère +12 pts/100 possessions quand Curry attire deux défenseurs à plus de 8 m du cercle – « c’est un pick-and-roll inversé », note JJ Redick.
Défensivement, il n’est plus la cible facile des débuts. Depuis 2021, il tourne à 1,2 interceptions par match et encaisse moins de 0,85 pt/possession en isolation (NBA Tracking).
En résumé, l’atout majeur de Curry reste son impact contextuel : même sans tirer, il modifie la géométrie du parquet et rend chaque système plus efficace.
🎟️ Voir Stephen Curry en live : dates et destinations 2025-26
📅 Calendrier 2025-26
- Sortie officielle mi-août ; sorties voyages peu après
- Packs multi-matchs : à San Francisco, New York, Los Angeles…
- Billets garantis & Fan Experiences exclusives
🌁 San Francisco Packs Premium
- 3 matches minimum au Chase Center
- Tribunes basses et/ou hautes
- Fan experience(s) et présence de la DubNation France + son CM Nico comme accompagnateur 🙌
🗽 Warriors @ Knicks
- Billets officiels au Madison Square Garden
- Lancer post-match
🌉 Warriors @ Nets
- Places officielles au Barclays Center
- Lancer franc d’après-match inclus
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→ Voir l’article❓ FAQ – Vos questions fréquentes
🏆 Combien de titres NBA Stephen Curry a-t-il remportés ?
▼
Il possède 4 titres NBA avec les Warriors : 2015, 2017, 2018 et 2022.
🎯 Quel est son total de tirs à trois points ?
▼
Depuis décembre 2021, il est recordman all-time et a cumulé plus de 4 000 paniers primés inscrits en saison régulière. 4 234 au 1er juillet 2025, record NBA.
🎂 Quel âge aura Stephen Curry en 2025-26 ?
▼
Né le 14 mars 1988, il fêtera ses 37 ans avant le coup d’envoi de la saison 2025-26.
📏 Quelle est sa taille et son poids ?
▼
Il mesure 1,88 m pour environ 86 kg (6 ft 2 in, 190 lbs).
💰 Quel est son salaire pour la saison 2025-26 ?
▼
Son contrat prévoit 59,6 millions $ (brut) en 2025-26, record NBA selon Spotrac. Détails et barèmes dans notre guide des salaires NBA.
🌀 Qu’appelle-t-on la « gravity » offensive de Curry ?
▼
Sa menace extérieure attire deux défenseurs au-delà de 8 m : cet aimant libère des coupes et crée des tirs ouverts pour les Warriors.
🔥 Quel est son record de points en saison régulière ?
▼
Le 3 janvier 2021, il marque 62 points contre Portland, son sommet en carrière.
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✅ Conclusion : Stephen Curry, la révolution à longue distance
En quinze saisons, Stephen Curry est passé de sniper sous-estimé à meilleur shooteur de l’histoire, redéfinissant les espaces et les statistiques de la NBA. Ses 4 200+ tirs à trois points et son approche « gravity » ont transformé le jeu des Warriors… et celui de toute la ligue.
À bientôt 37 ans, « Chef Curry » ne montre aucun signe de déclin : contrat record à 59 M $, tir toujours létal, impact communautaire croissant. Que vous rêviez de le voir embraser le Chase Center ou faire taire le Garden, c’est le moment d’assister en direct à la révolution Curry !
