Les Boston Celtics font partie intégrante de la légende de la NBA. Avec 18 titres NBA au compteur et une histoire qui traverse les époques, la franchise verte incarne à la fois la tradition, la rivalité et la passion du basket américain. De l’ère Bill Russell à l’époque actuelle de Jayson Tatum, les Celtics ont été le théâtre de moments historiques, de dynasties légendaires et de duels inoubliables contre les Lakers. Ce guide vous fait revivre, chronologiquement, l’évolution de cette équipe mythique — à travers les grands noms, les épopées de playoffs et l’ambiance unique du TD Garden.
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📌 En bref – Les chiffres clés des Boston Celtics
- 📆 1946–2025 : 18 titres NBA remportés (1957 à 2024)
- 🥇 22 Finales NBA disputées
- 🎖 23 maillots retirés, un record en NBA
- 🏛️ TD Garden : salle mythique de Boston
- 🏀 Joueur emblématique : Bill Russell (11 titres, 5x MVP)
- ☘️ Couleurs : vert & blanc, symboles d’héritage irlandais
🔎 Sommaire
- 🏀 Origines des Boston Celtics (1946–1956)
- 👑 Dynastie Bill Russell (1957–1969)
- 🕊️ Larry Bird & le Big Three des années 80
- 🔄 Années de transition (1990–2007)
- 🌟 Big Three 2008 avec Pierce, Garnett & Allen
- 🚀 Ère Jayson Tatum & Jaylen Brown
- 🍀 Culture Celtics & ambiance au TD Garden
- 📈 Palmarès, records & maillots retirés
- ❓ FAQ
🏀 Origines des Boston Celtics (1946–1956)
La franchise voit le jour en 1946 sous l’impulsion de Walter Brown, alors directeur du Boston Garden. Brown baptise l’équipe les “Celtics” en hommage à la forte communauté irlandaise de Boston et à une ancienne équipe légendaire nommée les New York Celtics.
Les débuts de l’histoire des Boston Celtics sont modestes : les premières saisons se soldent par des bilans négatifs. Pour redresser la barre, Brown recrute en 1950 un jeune entraîneur au fort caractère, Arnold “Red” Auerbach, qui va poser les bases de l’identité des Celtics.
Auerbach impose un style de jeu novateur, misant sur un fast break dynamique orchestré par le meneur Bob Cousy et une défense de fer. Visionnaire, il n’hésite pas à briser les conventions de l’époque : en 1950, il sélectionne Chuck Cooper, premier joueur afro-américain drafter en NBA. Sous sa houlette, les Celtics deviennent compétitifs.
En 1956, Auerbach réalise un coup de génie lors de la draft en recrutant un pivot athlétique nommé Bill Russell. Son arrivée va immédiatement transformer l’équipe et marquer le début d’une ère de domination sans précédent.
👑 Dynastie Bill Russell (1957–1969)
Avec Bill Russell, les Celtics entament la plus grande dynastie de l’histoire de la NBA. Dès la saison 1956–1957, Boston décroche son premier titre de champion NBA en battant les St. Louis Hawks en Finales après un Game 7 épique en double prolongation. Ce sacre inaugural lance une décennie de suprématie verte : Bill Russell et ses Celtics remportent 11 titres NBA en 13 saisons entre 1957 et 1969.
Huit de ces titres sont conquis consécutivement de 1959 à 1966 – une série inégalée dans le sport professionnel nord-américain. L’équipe menée par Russell, entouré d’autres légendes comme Bob Cousy, Tom Heinsohn, Sam Jones ou John Havlicek, se montre tout simplement injouable.
🗣 Trash Talk légendaire : Red Auerbach avait une manière bien à lui de sceller une victoire : il allumait son cigare avant même la fin du match. Ce geste, considéré comme du pur mind game, est devenu une signature mythique de la dynastie Celtics.
Cette dynastie est ponctuée par des duels mythiques en Finales NBA, notamment face aux Lakers de Minneapolis puis de Los Angeles – la rivalité Celtics/Lakers prend racine dans ces années-là. Red Auerbach, l’architecte du succès, prend sa retraite de coach en 1966 après neuf titres, confiant ironiquement le poste d’entraîneur à Bill Russell lui-même.
Russell devient ainsi le premier coach afro-américain de l’histoire du sport professionnel américain, tout en continuant à jouer. Il mènera Boston à deux titres supplémentaires en 1968 et 1969, chaque fois contre les Lakers. Lorsque Bill Russell tire sa révérence en 1969, il quitte la scène avec un palmarès inouï de 11 bagues de champion – un record individuel qui semble inatteignable à ce jour.
💡 Le saviez-vous ? Lorsque les Celtics ont retiré le maillot #6 de Bill Russell en 1972, la cérémonie s’est déroulée à huis clos, avant l’ouverture au public. Russell ne voulait pas être mis en avant devant les fans, en raison de sa relation complexe avec la ville de Boston, marquée par le racisme. Red Auerbach avait dû monter tout un stratagème pour organiser ce moment en petit comité. Il faudra attendre 1999 pour une seconde cérémonie publique, à la condition que tous les bénéfices soient reversés à une association.
🕊️ Larry Bird & le Big Three des années 80
Après le départ de Russell, les Celtics connaissent un bref renouveau dans les années 1970, décrochant deux titres NBA en 1974 et 1976 sous l’impulsion de John Havlicek et Dave Cowens. Mais à la fin des seventies, la franchise décline de nouveau et le Boston Garden sonne creux. C’est alors que le maître tacticien Red Auerbach, désormais General Manager, prépare la résurrection.
En 1978, il ose drafter un jeune ailier encore à l’université : Larry Bird. Bird rejoint finalement l’équipe en 1979, et dès sa saison rookie il redonne espoir aux fans des Boston Celtics par son talent exceptionnel. En 1980, Auerbach réalise un échange historique : il récupère le pivot Robert Parish et le troisième choix de draft (avec lequel il sélectionne Kevin McHale) en échange d’un seul choix de draft. Boston réunit ainsi un Big Three légendaire – Larry Bird, Kevin McHale et Robert Parish – un trio de guerriers prêts à en découdre avec les meilleures équipes de la ligue.
Ce Big Three des Celtics des années 1980 va dominer la NBA. Dès 1981, Boston reconquiert le titre NBA. Sous la conduite de l’entraîneur Bill Fitch puis du coach K.C. Jones, les Celtics atteignent cinq finales dans les années 80 et remportent trois championnats (1981, 1984, 1986). La rivalité Celtics–Lakers atteint alors son apogée : Larry Bird et Magic Johnson s’affrontent à trois reprises en Finales NBA durant la décennie, opposant la tradition Celtics à la Showtime des Lakers. Les finales 1984 offrent notamment un duel d’anthologie conclu par une victoire de Boston au Game 7, tandis qu’en 1985 et 1987, Los Angeles prend sa revanche.
🎥 Larry Bird en action : Revivez les plus belles séquences de la légende des Celtics avec cette mixtape de ses actions les plus spectaculaires.
Larry Bird, triple MVP de la NBA (1984–1986), s’impose comme l’une des plus grandes stars du basket et symbolise la fierté des Celtics durant cette époque. La fin des années 80 voit cependant l’ombre au tableau : en 1986, la franchise sélectionne le prodige Len Bias à la draft, mais celui-ci décède tragiquement d’une overdose deux jours plus tard, privant Boston de son successeur annoncé à Larry Bird.
Quelques années après, en 1993, Reggie Lewis – alors leader de l’équipe – s’éteint à son tour suite à une crise cardiaque. Ces drames marquent la fin d’un cycle doré. Larry Bird, usé par les blessures, prend sa retraite en 1992, suivi par McHale en 1993 et le départ de Parish en 1994. La franchise aborde alors une longue période de transition.
🔄 Années de transition (1990–2007)
Les années 1990 sont difficiles pour Boston. Privés de leurs légendes, les Celtics enchaînent les saisons de disette et manquent régulièrement les playoffs. En 1997, l’équipe touche le fond avec seulement 15 victoires, l’un des pires bilans de son histoire. Cette même année, la loterie de la draft ne lui offre même pas la consolation espérée — Boston espérait sélectionner Tim Duncan, sans succès.
Le prestigieux club du Massachusetts ne fait plus rêver et le public du Garden se fait plus clairsemé. L’entraîneur Rick Pitino, recruté en 1997 avec les pleins pouvoirs, ne parvient pas à redresser la barre et quitte le navire en 2001 sur un échec retentissant.
Quelques lueurs d’espoir émergent pourtant. En 1998, les Boston Celtics sélectionnent un ailier talentueux, Paul Pierce, qui deviendra rapidement le nouveau visage de la franchise. Associé à Antoine Walker, Pierce mène Boston jusqu’en finale de Conférence Est en 2002 – une performance inespérée après 14 ans d’absence à ce niveau.
En 2000, Paul Pierce a frôlé la mort après avoir été poignardé 11 fois dans une boîte de nuit à Boston. Il survivra miraculeusement, sans manquer un seul match de la saison. Ce documentaire revient sur ce moment dramatique et la résilience exceptionnelle de celui qui deviendra une légende des Celtics.
Malgré cette embellie, les résultats restent irréguliers au milieu des années 2000. La nomination de l’ancien Celtique Danny Ainge au poste de General Manager en 2003 enclenche une reconstruction patiente autour de Pierce. Ce processus, bien que critiqué au départ, finit par porter ses fruits spectaculairement en 2007 lorsque Ainge réalise deux transferts majeurs pour faire venir à Boston deux superstars : Kevin Garnett et Ray Allen. Ces arrivées aux côtés de Pierce forment un Big Three 2008 qui va redonner aux Celtics leur lustre d’antan.
🌟 Big Three 2008 avec Paul Pierce, Kevin Garnett, Ray Allen
L’été 2007 marque la renaissance des Celtics. Paul Pierce, fidèle lieutenant de la franchise depuis presque 10 ans, voit débarquer à ses côtés Kevin Garnett (en provenance des Minnesota Timberwolves) et Ray Allen (des Seattle Supersonics). Sous la direction de l’entraîneur Doc Rivers, ce trio All-Star transforme immédiatement l’équipe en prétendante au titre.
La saison 2007–2008 est un triomphe : les Celtics remportent 66 matchs en saison régulière (meilleur bilan de la ligue) et filent en playoffs animés par un seul objectif : ajouter une nouvelle bannière de champion au plafond du Garden.
En juin 2008, les Celtics conquièrent le titre NBA tant attendu. Boston décroche alors son 17e titre NBA en battant son rival historique, les Lakers de Kobe Bryant, lors des Finales NBA 2008. Paul Pierce, icône des Celtics des années 2000, est élu MVP des Finales. Aux côtés de Garnett et Allen, il permet à la franchise de renouer avec la gloire après 22 ans d’attente.
Le Big Three continue d’être compétitif les saisons suivantes. En 2010, Boston retourne en Finales NBA pour un nouveau duel épique contre Los Angeles, mais s’incline de justesse au terme du match 7 décisif. L’ère Pierce-Garnett-Allen se conclut en 2012 lorsque Ray Allen quitte l’équipe, puis en 2013 avec le transfert de Pierce et Garnett, marquant la fin d’un cycle. Néanmoins, ce Big Three aura ravivé la dynastie Celtics en offrant à Boston le titre numéro 17 et en rallumant la passion des supporteurs verts.
🚀 Ère Jayson Tatum & Jaylen Brown (depuis 2017)
Depuis 2017, les Celtics sont portés par la jeune étoile Jayson Tatum, drafté en 2017, et par Jaylen Brown, arrivé en 2016. Le duo devient rapidement le cœur de l’équipe, avec plusieurs apparitions en finales de conférence (2018, 2020, 2022).
Un tournant s’opère en 2023 avec l’arrivée de Jrue Holiday et Kristaps Porziņģis. Leur intégration aux côtés de Tatum et Brown donne une nouvelle dimension au collectif. Joe Mazzulla, jeune coach de 35 ans, parvient à orchestrer une équipe aussi redoutable défensivement que créative en attaque.
La saison 2023‑2024 est particulièrement marquante : Boston termine avec le meilleur bilan de la ligue (64‑18), avec l’avantage terrain conservé durant tous les playoffs. Après des séries solides (4‑1 contre Miami, Cleveland et Indiana), les Celtics affrontent Dallas en Finales NBA.
Le 17 juin 2024, Boston remporte son 18ᵉ titre NBA en s’imposant 4‑1 contre les Mavericks. Jaylen Brown est élu MVP des Finales (20,8 pts, 5,4 rebonds, 5 passes), tandis que Tatum brille avec 31 points et 11 passes décisives dans le match décisif.
🏆 À retenir : Avec leur 18ᵉ titre NBA les Boston Celtics deviennent seuls détenteurs du record du plus grand nombre de titres dans l’histoire de la ligue, devant les Los Angeles Lakers (17). Une revanche symbolique pour une franchise qui a bâti sa légende face à son plus grand rival.
La fête est à la hauteur de l’événement : parade dans les rues de Boston, célébration populaire au City Hall Plaza, et accueil présidentiel à la Maison Blanche. Malgré un revers prématuré en 2025 avec cause d’une blessure de Tatum, le duo Tatum–Brown, reste au cœur des ambitions de Boston pour les années à venir.
🍀 Culture Celtics & ambiance au TD Garden
🏟️ Ambiance au TD Garden
Lors de notre dernier passage au TD Garden, l’ambiance était à couper le souffle. Enveloppés par une marée verte de fans passionnés, on ressent immédiatement la ferveur unique qui fait la réputation de la salle. Les chants “Let’s go Celtics!” descendent des tribunes avec une intensité incroyable. Le TD Garden, réputé pour son ambiance survoltée, est bien plus qu’une salle : c’est un temple du basket où chaque match des Celtics prend des allures d’événement.
🪵 Le parquet flottant
L’âme des Celtics s’exprime à travers plusieurs symboles emblématiques. D’abord, il y a le fameux parquet flottant des Celtics – ce terrain en chêne au motif légendaire, utilisé depuis l’ère du Boston Garden original. À l’origine, ce parquet a été conçu en 1946 à partir de pièces de bois récupérées, une solution astucieuse face à la pénurie de matériaux d’après-guerre. Ce design unique, composé de petits carreaux de bois, a traversé les époques et a été recréé dans la nouvelle salle. Jouer sur ce parquet mythique confère un supplément d’âme aux matchs à domicile. Les rebonds capricieux et les “dead spots” du vieux parquet faisaient même partie du folklore, donnant un léger avantage aux habitués du Garden.
🏀 Les fans et la tradition de la gagne
Autre élément indissociable de la culture Celtics : les fans et la tradition de la gagne. Le plafond du TD Garden est orné de 18 bannières de champion NBA et d’une multitude de maillots retirés. Chaque fois que les Celtics foulent le parquet, ces drapeaux verts et blancs rappellent la pression de l’héritage et la fierté de jouer pour Boston. Les supporteurs, exigeants et connaisseurs, honorent cette histoire en donnant de la voix du début à la fin du match. L’expression “Celtic Pride” prend tout son sens dans ces moments où le public transcende son équipe.
🍀 Lucky the Leprechaun
Enfin, la touche de malice et de tradition irlandaise est incarnée par la mascotte “Lucky the Leprechaun”. Ce lutin irlandais, logo et mascotte officiel des Celtics, fait des acrobaties sur le parquet et harangue la foule lors des temps mort. Lucky symbolise l’héritage irlandais de Boston (à l’origine du nom “Celtics” lui-même) et porte chance à l’équipe. Avec son chapeau vert et son trèfle, il est l’incarnation joyeuse de l’esprit Celtics. Entre le parquet légendaire, l’ambiance du TD Garden incomparable, les fans en fusion et la mascotte bondissante, la culture Celtics offre une expérience NBA parmi les plus authentiques et intenses qui soient.
📈 Palmarès, records & maillots retirés
🏆 Un palmarès incomparable
Le palmarès des Boston Celtics force le respect : 18 titres NBA remportés (de 1957 à 2024), ce qui fait d’eux l’équipe la plus couronnée de la ligue. Ils ont également remporté 22 titres de Conférence Est et dominé leur division à de multiples reprises.
Surtout, la franchise détient le record du plus long règne sans partage : 8 titres NBA consécutifs entre 1959 et 1966, une performance inédite dans l’histoire du sport américain. Individuellement, Bill Russell détient le record du nombre de championnats gagnés par un joueur avec ses 11 bagues glanées sous le maillot vert.
🏀 Des joueurs emblématiques
Au-delà des titres, les Celtics affichent d’autres faits d’armes impressionnants. Boston est l’équipe ayant accumulé le plus de victoires en saison régulière dans l’histoire de la NBA. La franchise a vu défiler des dizaines de Hall of Famers et de MVP en près de 80 ans d’existence.
Parmi les joueurs emblématiques des Celtics, on peut citer : Bill Russell, véritable monument (11 titres NBA, 5 fois MVP de la saison) ; Larry Bird, l’ailier au shoot assassin (3 titres NBA, 3 fois MVP) ; John Havlicek, meilleur scoreur de l’histoire de la franchise avec 26 395 points et 8 titres au palmarès.
Bob Cousy, le magicien de la passe ; Sam Jones (10 titres) ; Tom Heinsohn (8 titres comme joueur puis coach) ; Dave Cowens (MVP 1973) ; Paul Pierce (capitaine champion 2008) ; Kevin Garnett (DPOY 2008 et champion 2008) ; Ray Allen (meilleur shooteur à 3 points de son époque, champion 2008) ; sans oublier les stars actuelles Jayson Tatum et Jaylen Brown. Chacun a marqué de son empreinte l’histoire des Boston Celtics.
🎽 Numéros retirés
Fidèle à cette riche histoire, Boston honore ses gloires comme nul autre club. Les Celtics ont 23 numéros retirés, plus que toute autre franchise sportive américaine.
Du n°6 de Bill Russell (également retiré à l’échelle de toute la NBA en 2022) au n°33 de Larry Bird, en passant par le n°17 de John Havlicek, le n°00 de Robert Parish, le n°34 de Paul Pierce ou le n°5 de Kevin Garnett, ces maillots sacrés flottent au plafond du Garden pour l’éternité.
Chaque génération de fans peut ainsi contempler les légendes qui ont construit la dynastie Celtics. Ce palmarès exceptionnel, ces records inégalés et ces noms inscrits en lettres d’or font des Boston Celtics une franchise à part, synonyme d’excellence et de tradition en NBA.
❓ FAQ – Vos questions fréquentes
🏆 Combien de titres NBA les Celtics ont-ils remportés ?
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Les Boston Celtics ont remporté 18 titres NBA au total dans leur histoire, ce qui constitue le plus haut total de la ligue (record qu’ils partagaient avec les Lakers jusqu'en 2024). Ces titres NBA des Celtics ont été conquis entre 1957 et 2024, la période la plus faste étant celle de Bill Russell avec 11 championnats remportés en treize ans.
🍀 Pourquoi l’équipe s’appelle-t-elle “Celtics” ?
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Le nom “Celtics” a été choisi en 1946 par le fondateur Walter Brown. Il rend hommage à la grande communauté irlandaise de Boston et fait écho à une ancienne équipe de basket légendaire nommée les New York Celtics. Ce surnom “Celtics” évoque donc les peuples celtes (dont les Irlandais) et ancre l’équipe dans l’identité de la ville de Boston, souvent surnommée la “Irish capital” des États-Unis.
👑 Qui est le joueur emblématique des Celtics ?
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Historiquement, le joueur le plus emblématique des Celtics est Bill Russell. Ce pivot légendaire a remporté 11 titres NBA avec Boston, un record, et a véritablement incarné la dynastie des Celtics dans les années 1960. Son impact est tel que le numéro 6 qu’il portait a été retiré par les Celtics (et même retiré dans toute la NBA en son honneur). D’autres grands noms comme Larry Bird ou Paul Pierce sont également souvent cités, mais Bill Russell demeure la figure iconique par excellence des Boston Celtics.
⚔️ Quelle est la plus grande rivalité des Celtics ?
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La plus grande rivalité des Celtics est celle qui les oppose aux Los Angeles Lakers. Celtics et Lakers sont les deux franchises les plus titrées de la NBA et se sont affrontées à 12 reprises en Finales NBA au cours de l’histoire. Cette rivalité légendaire, née dans les années 1960 et ravivée dans les années 1980 par les duels Bird vs Magic, est considérée comme l’une des plus intenses du sport américain. À côté de ce duel, on peut également mentionner les rivalités de Boston avec les Philadelphia 76ers ou les New York Knicks, mais aucune n’égale la saga Celtics-Lakers.
🎟️ Où acheter des billets pour un match au TD Garden ?
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💡 Évitez les revendeurs devant la salle : vous risquez d’acheter des billets déjà utilisés ou non valides.